Éric Besson souhaite un débat sur le droit de vote des étrangers.
Jean-François Copé souhaite un débat sur l’homoparentalité.
Nicolas Sarkozy souhaite un débat sur le travail dominical.
Ci-dessus, Pat Hibulaire souhaitant un débat avec Mickey Mouse pour régler le problème de la discipline à bord du Steamboat Willie.
mercredi 2 septembre 2009 at 1:37
A vos souhaits…
mercredi 2 septembre 2009 at 8:29
Je n’aime pas qu’on touche Mickeeeey !!!
mercredi 2 septembre 2009 at 9:17
Sébastien,
Pour ma part, je souhaite un débat sur l’éradication de la classe politique actuelle dans les plus brefs délais. En toute transparence et dans le respect des convictions de tout un chacun.
Marion Agnès,
Nous sommes tous des Mickey Mouse !
mercredi 2 septembre 2009 at 9:37
Ich bin ein Mickey Mouse?
mercredi 2 septembre 2009 at 10:13
Je souhaite « qu’on » nous explique enfin pourquoi les Pat Hibulaires le sont tous autant
mercredi 2 septembre 2009 at 10:21
Personnellement j’aime débattre avec une barre à mine, les gens écoutent mieux….
mercredi 2 septembre 2009 at 10:48
Ah, le débat ! Quel engeance, le débat démocratique !
mercredi 2 septembre 2009 at 11:01
J’ai oublié de mentionner :
François de Closets souhaite un débat sur la réforme de l’orthographe.
mercredi 2 septembre 2009 at 11:27
jorge souèt 1 déba sur le déba.
mercredi 2 septembre 2009 at 2:09
je souhaite un débat sur ce qui est « débattable » !
mercredi 2 septembre 2009 at 2:11
…. mais comme cela a été suggéré plus haut, je propose dans ce cas un débat sur qui n’est pas « débattable » !
mercredi 2 septembre 2009 at 3:31
A l’origine, la « disputatio » consistait en une discussion organisée selon un schéma dialectique sous la forme d’un débat oral entre plusieurs interlocuteurs, en général devant un auditoire et parfois en public… ce débat se déroulait en plusieurs étapes codifiées : la questio, un « opponens » y formulait des objections, auquel un « respondens » était chargé d’opposer des contre-arguments de manière à créer un débat d’arguments. Une fois l’ensemble des arguments épuisés, on avançait une solution argumentée appelée la « determinatio » que pouvait suivre la réfutation des arguments avancés auparavant contre cette determinatio … et ainsi de suite (comme c’est souvent le cas dans les débats)
mercredi 2 septembre 2009 at 6:30
Contrairement à vous tous, je souhaite plutôt des hauts que débats. Qu’en tous cas on nous débat-rasse des zo-zos qui nous gouvernent.
mercredi 2 septembre 2009 at 11:00
Et qui est donc ce « on » harassé, chargé du débat ?
Pourquoi faut-il débattre quand il faudrait abattre ? Abattre des portes, des cloisons, des murs, ouvrir des avenues, faire rentrer les souris et les rats dans les trous qu’ils n’auraient jamais dû pouvoir quitter, couper ces noeuds gluants qui nous entravent…
En un mot : pourfendre ! Ah, don Quichotte ! ! !
jeudi 3 septembre 2009 at 2:54
Je souhaiterais obtenir le remboursement du gouvernement que j’ai acheté. Sur le catalogue, il y avait marqué gouvernement de droite tout neuf, et on m’a livré un gouvernement de gauche tout pourri.
En plus, on voit bien qu’il a déjà servi. La boîte était ouverte. C’est un gouvernement usagé qui a été retourné par un consommateur mécontent.
A votre avis, si on me propose un échange, est-ce que je dois accepter ? Et s’ils essaient de me refourguer un bon d’achat, qu’est-ce que je fais ?
jeudi 3 septembre 2009 at 9:54
pour Georges (ça concerne la forme) et pour Robert Marchenoir (ça concerne le fond)
Moa pa komandet praisan gouverneman, mè moa avouar é t livret kan mèm
Koman fer pour protestet ?
Sérieusement, nous avons tous été escroqués, que nous ayons ou non « cru » à notre libre choix! Il faut reconnaître que le merchandage (ma traduction toute peersonnelle de « marketting ») était au point!
Conclusion : point de débat, de l’action!.
jeudi 3 septembre 2009 at 12:20
Bon, je sens que je ne vous convaincrai pas sur le travail dominical, mais celui-ci étant inévitable dans une société (il faut bien que les services publics d’urgence fonctionnent, par exemple), l’interdiction du travail dominical ne peut être contournée que par l’arbitraire législatif ou règlementaire. Au lieu de laisser les entreprises libres de travailler ou non le dimanche. Tout est dans le « ou non ». Au Canada, où j’ai vécu un an, le travail dominical est autorisé. Cela ne veut pas dire qu’il y soit la règle. Seulement, là où l’arbitraire prévaut en France, c’est là-bas la seule liberté qui détermine les choix…
Sur le « droit » de vote des étrangers et l’homoparentalité en revanche, je suis bien évidemment d’accord avec l’idée que l’on a décidé pour nous qu’ils sont nécessaires. Sans pour autant nous le dire clairement.
C’est pour cela qu’ils ne peuvent être mis sur un pied d’égalité avec le travail dominical. Il y a un vrai débat sur ce dernier parce qu’il est acceptable. Il n’y en a qu’une parodie sur les deux autres sujets parce que nos dirigeants politiques savent qu’ils sont inacceptables aux Français, même de gauche. C’est la politique du fait accompli occultée par le faux débat.
jeudi 3 septembre 2009 at 5:11
Mitterrand, à propos du « droit de vote aux étrangers » :
« Les Français ne sont pas prêts. »
jeudi 3 septembre 2009 at 9:30
faisons voter les petits gris
vendredi 4 septembre 2009 at 4:03
Walk softly and carry a big stick