Salut les petits lapins ! I’m back from New York City and Washington D.C. !
Je vous raconterai quand j’aurai plus de temps devant moi.
Merci pour vos messages et courriers, auxquels je tâche de répondre promptement.
En attendant, c’est la séquence diapos. Chapitre 1 : Street graphism.
mardi 5 janvier 2010
mardi 5 janvier 2010 at 3:27
Ces photos sont de vous Fromage ? Si c’est le cas un grand bravo pour le coup d’oeil (et pour le travail si la première est votre mouture)
Bon courage pour le jetlag.
mardi 5 janvier 2010 at 3:36
Amdg,
Oui, c’est moi qui ai pris les photos ; mais je n’ai fait que prendre des photos, je ne suis en aucun cas l’auteur de ces dessins !
mardi 5 janvier 2010 at 3:49
Pour les dessins je n’en doutais pas. Par contre, pour le montage de la première photo, cela eût été possible. (un ti coup’ de totoshop avec du talent d’utilisation et c’est fait)
Vu la série, j’imagine que vous êtes rentré avec un bon nombre de clichés dans votre besace.
mardi 5 janvier 2010 at 3:55
Ce téléphone fait décidément de bonnes photos :o). Merci le coréen !
mardi 5 janvier 2010 at 4:03
Amdg,
En effet !
😉
mardi 5 janvier 2010 at 4:10
Amdg,
Même s’il possède par ailleurs de très nombreux défauts, comme un temps de mise au point extrêmement interminable, ou une qualité de rendu complètement nulle dès que la lumière décline… Cela en fait malgré tout le compagnon favori de mes promenades !
Mais pour répondre à votre question : non, j’ai publié ici quasiment tous mes clichés consacrés au street art.
mardi 5 janvier 2010 at 4:11
Je pensais justement à toutes les autres….
mardi 5 janvier 2010 at 4:14
Amdg,
Ah. Alors oui, il y en a un paquet, mais le résultat est très inégal.
mardi 5 janvier 2010 at 6:29
Un très beau regard de photographe !
mardi 5 janvier 2010 at 8:27
Salut qui peu et bonne année! J’espère que les guenons du zoo du Bronx ne vous auront fait aucun mal.
Si vous êtes intéressé par ce genre de photos, je crois savoir que cette maison d’édition parisienne prépare un ouvrage sur le sujet. D’ailleurs, vous constaterez également que dans cette boutique, il y a de très jolis livres pour vous ou pour madame.
http://www.editionsdianedeselliers.com
Enjoy ur jetlag Bro’!
mercredi 6 janvier 2010 at 12:38
P’tain t’es chié man, y’a pas de photo de Barka. T’es pas cool !
mercredi 6 janvier 2010 at 5:00
C’est quand même plus coloré que les pochoirs de Miss Tic, seulement pour les parigots.
Le dernier Nokia fait aussi de trés belles photos.
mercredi 6 janvier 2010 at 5:52
Grandpas,
Miss Tick c’est quand même la catégorie du graphisme « Ultra-pourrave ». Dessin ultra-laid, et je crois me souvenir que ses citations offrent une sévère concurrence aux calembours foireux du journal Libération.
jeudi 7 janvier 2010 at 12:17
Ah, je vous envie … New york, quel mythe… » Bordel New York des années quatre-vingt ça c’était du Babylone de chez Sodome et Gomorrhe, du vrai crade, du beau. Et la grâce possible à chaque seconde » comme disait l’autre
jeudi 7 janvier 2010 at 4:29
Fromage
Je pensais à Miss Tic car quand je suis venue sur Paris, elle exercait son art (?) dans le XIII éme pour moi ce n’ était que des graffiti mais pour les bobos critiques d’art, c’est digne d’être exposé dans une galerie et pourquoi tnat qu’ on y est dans une des ailes du Louvre.
vendredi 8 janvier 2010 at 2:02
Vous êtes estimable et attachant, ô hôte de ces lieux. Ces quelques clichés du New York Street Art (un livre d’art du même nom est paru voici deux lustres environ) en disent assez long sur la mégapole amputée.
Quant à Miss Tic, Libération eut beau tenter, confondant esprit et jeux de mots imbéciles comme d’autres amour et gymnastique, n’y parvint. Sur les murs de Paris, sa tignasse, sa taille fine, ses grands yeux, sa beauté, sa poésie sauvage, toute, esprit et chair, incarnée, donc, demeurent incomparables.
Et toujours aussi peu commentées, vous l’aurez remarqué sans doute.
vendredi 8 janvier 2010 at 5:38
Vos diapos sont contemporaines où ils jouent répétition ad libitum in Big Apple
vendredi 8 janvier 2010 at 7:48
C’est autre chose que les chiures de nos zartistes de banlieue, qui tagguent comme les chiens font pipi, pour marquer leur territoire.
Bonne année à vous!
vendredi 8 janvier 2010 at 10:28
Sur la treizième photo, Warhol pose aux cotés de Jean Michel Basquiat …
Je garde pour moi ce que je pense du premier, mais j’avais beaucoup aimé ce film de Julian Schnabel, qui m’a fait découvrir le travail et l’oeuvre de Basquiat.
Son univers déjanté, si loin et paradoxalement si proche du mien
L’étrange rapport que le clampin moyen apparemment propre sur lui et sans signe distinctif (moi par exemple), avec ce genre de génie cramé, brisé de l’intérieur par ce qui le travaille, autant que par les adjuvants qu’il ne manque, en général pas, de s’injecter
vendredi 8 janvier 2010 at 10:42
Erratum :
Étrange rapport qui se construit parfois entre le clampin moyen apparemment propre sur lui et sans signe distinctif (moi par exemple), avec ce genre de génie cramé, brisé de l’intérieur par ce qui le travaille, autant que par les adjuvants qu’il ne manque, en général pas, de s’injecter.
dimanche 10 janvier 2010 at 1:11
J’aime bien cette pensée de ce monsieur.
Je n’écoute pas les critiques d’art. Je ne connais personne qui ait besoin d’un critique pour trouver ce qu’est l’art.
Les critiques sont le plus souvent des artistes ratés.
mardi 12 janvier 2010 at 8:22
Le manque de temps m’ oblige à poster ce commantaire ici et c’est bien dommage.
De jaloux saboteurs aux yeux de crocodile me veulent mon malheur, voilà mon problème et cela a été toujours ainsi avec les play-boys de bac à sable et les divas de bac à sable se mettent à geindre quand la maitresse vient surveiller la cour, ils se répandent en pleurnicheries, c’est pas moi c’est le vilain boutonneux.
Cher Fromage plus
Ici sera mon dernier commentaire sur vôtre site au demeurant fort intéressant.
Malheureusement certains intervenants ne supportent pas la contradiction de suite ils deviennent mauvais en apostrophant les dits contradicteurs ainsi, abruti, soudard, pochtron et autres qualités ou accusation de type « tu touches le RMI » au bout d’ un moment même si ce type de comportement résulte d’ une immaturité complète ou d’ une sénilité avancée, cela devient gavant.
Suite à votre explication après le commentaire du Sieur Erig ct… , j’ ai utilisé des invectives sorties du Petit Haddock illustré donc acceptables même par des enfants de cour préparatoire mais combien de temps encore pourra t on utilisé ces savoureuses interjections venant d’ un Maître Es-Juron sans tomber sous le coup du politiquement correct. Arrivera t on un jour à ne plus pouvoir appeler un chat un chat mais d’en venir a dénommé un nain comme suit, personne à la verticalité contrariée, on va s’ennuyer grave !
Pour terminer, j’ ai remarqué la photo de Patrick Mac Goohan qui nous récemment quitté en Janvier 2009. , ce grand acteur nous a laissé un chef d’œuvre télévisuel , « Le prisonnier » la suite de « Destination Danger » deux livres furent publiés aux Editions du 8éme Art, maison qui a malheureusement disparue, un grand dommage car on trouvait dans les livres de cet éditeur, une somme phénoménale d’ information sur des séries télévisées qui sont pour certaines de véritables joyaux même si quelques une ont mal supporté les années.
Bien à vous
Désolé , pour ce commantaire non approprié.
mercredi 13 janvier 2010 at 12:55
Vous vous êtes égaré sur le ground zéro ?