L’éclat de rire du moment, c’est la CGT qui envoie son service d’ordre pour virer les clandestins de ses locaux ! C’est énorme ! Merci les gars, ça faisait un moment qu’on n’avait pas rigolé comme ça dans notre beau pays ! La CGT qui se fait bizuter par ses propres bizuts, ça donne envie d’ouvrir une bonne bouteille et d’attaquer le sauciflard pour fêter ça.
Je vous recommande la lecture de l’article du Figaro >>>.
vendredi 26 juin 2009
vendredi 26 juin 2009 at 9:21
Ca ne les empêchera pas de continuer à soutenir les sanpapié.
Les lecteurs de Fdesouche qui se félicitent que la CGT ait retourné sa veste se trompent lourdement : la CGT, comme tous les Degauche, a toujours été généreuse avec l’argent des autres, exclusivement.
Virer de ses locaux les clandestins qu’on oblige les autres à accueillir, c’est parfaitement cohérent avec leurs positions de toujours.
vendredi 26 juin 2009 at 10:22
On n’avait pas autant ri depuis l’époque lointaine de ma jeunesse, où le PCF de Georges Marchais faisait démolir des foyers d’immigrés par les bulldozers.
vendredi 26 juin 2009 at 11:16
La position de la CGT n’est compréhensible que si on sait qu’ils veulent défendre coûte que coûte les droits des gens en place, qui ont un CDI. Et qui veulent une retraite à taux plein.
Ils se contrefichent des chômeurs, des jeunes, etc. Ils se contrefichent que leurs amis immigrés liquéfient le marché du travail de bas en haut, en imposant la précarité absolue (un clandos est à la merci de son patron) et les bas salaires (salaires totalement déconnectés de l’offre et de la demande locale de travail : si tu veux payer un travail ingrat au smic, tu as 4 milliards de tiers mondeux qui sont prêts à venir pour). Pour résumer : les clandestins servent à liquéfier les emplois qu’on ne peut pas délocaliser.
La solution magique, qui transformera les syndicats en hordes de pitbulls anti-immigration, consisterait à détruire les retraites par répartition, sans compensation ni transition. Du coup, ils auraient de nouveau à défendre les salaires et les emplois, contre toute forme de mise en concurrence déloyale (esclaves importés, usines exportées). Hélas, vu que les syndicalistes sont avant tout de vieux égoïstes, ils continueront coûte que coûte à défendre le « modèle social ».
La seule chose qui pourrait encore « sauver » la France, c’est la crise financière. C’est une bénédiction : si l’Etat et la Sécu se mettent en cessation de paiement voire en banqueroute, tout s’effondre. L’immigration perdre sa seule légitimation. Les prestations sociales disparaîtront au profit de la solidarité naturelle, organique, entre apparentés : si tu n’as pas de gosses, tu travailles jusqu’à ta mort, ou vit de tes rentes, mais tu ne vivras pas aux crochets des jeunes, et encore moins de la dette publique. Ce serait comme une révolution mentale : les français seraient obligés de ré-admettre comme valeurs ce qu’ils exorcisent depuis 40 ans.
vendredi 26 juin 2009 at 10:00
la banderole est mal orthographiée
il faut lire « on weste ici »
samedi 27 juin 2009 at 8:00
kobus,
Ah non, le W est l’usage exclusif de la cause gwadloupéenne !
samedi 27 juin 2009 at 9:45
« La solution magique, qui transformera les syndicats en hordes de pitbulls anti-immigration, consisterait à détruire les retraites par répartition, sans compensation ni transition. Du coup, ils auraient de nouveau à défendre les salaires et les emplois, contre toute forme de mise en concurrence déloyale (esclaves importés, usines exportées). Hélas, vu que les syndicalistes sont avant tout de vieux égoïstes, ils continueront coûte que coûte à défendre le “modèle social”. »
Autrement dit, il s’agirait d’un combat entre vieux égoïstes et jeunes égoïstes ?